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Svetitië (=petite lanterne, petite lueur) Lydolaü (=Lit dans l'eau) Arnäyel (=Argent + verbe "aller") (prononcer Svétissié Lydolao Arnèyel) est une prêtresse, une hydromancienne, marchande et une guerrière Den'dorei polyvalente et représentante de l'ambiguité denedor, étant la première à être sortie de leur mode de vie isolationniste pour découvrir le monde et servir d'émissaire et d'ambassadrice à son peuple, et pourrait être qualifiée de nos jours de protectionniste et libérale. Peu nombreux sont ceux qui connaissent Svetitië dans son intégralité, du moins dans la société 'normale'. En effet, mis à part ses origines et son prénom, pour ceux qui lui ont parlé, le reste est plutôt vague voire inconnu et seulement certains se sont aventurés dans une discussion avec cette elfe à l'apparence plutôt humanisée.

Toutefois, derrière cette elfe ne se cache pas seulement de mystérieuses coutumes mais aussi des rites et une histoire qui diffère de celle de ses compatriotes, bien qu'elle vive avec eux avec aise.

Apparence

D'environ 1m75, Svetitië possède une carrure typiquement elfique au sablier moins marqué, une peau pâle à la couleur d'une pêche pas encore mûre. Sans pour autant avoir une apparence masculine, l'absence de formes au niveau de la poitrine ainsi que les muscles légèrement saillants peuvent faire confondre de loin cette elfe avec un homme un peu frêle. Des pieds à la tête, sa peau est unie et ne présente que très peu d'irrégularités, voire aucune, quoi que son visage légèrement allongé est légèrement plus foncé que le reste de son corps à force d'exposition au soleil.

Ce dernier, plutôt fin, est surplombé par une longue chevelure fine et sèche semblable à de la paille aux pointes, mêlant mèches anthracites, grises et blanc cassé de la même manière que ses timides sourcils, qui se distinguent assez peu, étant plus courts que ceux d'un Kal'dorei ou d'un Sin'dorei. Sous ces sourcils se présentent deux yeux le plus souvent en train de scruter les alentours, très légèrement bridés, d'un bleu foncé semblable au lapis lazuli encore brut, en accord avec les peintures qu'elle porte sur son visage fermé. [1]Faits à partir de poussière d'indigo extrait de la guède cultivée dans les alentours de son village, ses tatouages bleus représentent souvent son objectif principal, qu'elle peut donc changer en fonction de la situation. Ils représentent le plus souvent un aigle aux ailes étendues sur ses yeux, et à la base peinte sur son nez fin et légèrement busqué. Sous son nez se dessine deux joues creuses aux côtés d'une fine bouche aux lèvres peu prononcées, légèrement rosées. Ses oreilles, elles, bien que plus courtes que celle des autres elfes, s'élancent à travers sa chevelure pour remonter à hauteur de l'arrière de son crâne.

Psyché et caractère

De nature calme et réfléchie, ses origines Denedor ajoutent à son impassibilité.

Si auparavant les Den'dorei étaient sujets à prendre la fuite au premier signe de danger, la perte de terres d'être chers durant les attaques de Furbolgs les ont légèrement incités à se lever face à l'adversité et à mener un combat.

Tout en restant clémente et indulgente face aux erreurs des uns et des autres, elle se restreint toutefois de la plupart des joies que se permettent les autres de manière à se dédier entièrement à l'étude de la culture azerothienne, ou du Reflet, un lieutenant de Neptulon qui s'est entiché de cette civilisation primitive. Elle ne jure que par Ce Reflet mais respecte tout de même les autres croyances présentes, en particulier celle d'Elune. Etant la première émissaire du peuple Den'dorei, elle est plus ouverte mentalement que la plupart de ses congénères et cette ouverture d'esprit la rend triste, car elle se rend compte que la civilisation Denedor sera réticente à toute l'avancée technologique, économique, politique et sociétaire qu'elle a adopté en partant vers l'inconnu d'Azeroth.

Etant habituée à l'honnêteté d'apparence des elfes avec lesquels elle a grandit, elle juge principalement sur l'apparence, et aura donc du mal à sociabiliser avec les personnes vêtues de noir et qui portent une capuche même en l'absence de pluie, ou toute autre personne qui présente des attributs différents de la normale, bien qu'elle se soit maintenant adaptée aux nombreuses races d'Azeroth.

Capacités

Svetitië est à la fois débrouillarde et agile, son habileté avec un bâton est reconnue parmis les siens et depuis qu'elle a forgé sa Hälbar'dh, qu'elle a nommé en mémoire à ses confrères défunts "Dÿnekael", la réflexion ou la pensée. Cette arme, composée d'un manche en bois d'if et à la lame forgée dans un alliage de vrai-argent et d'acier, est surplombée d'une Aigue-marine de laquelle coule sur le long de la lame une éternelle goutte d'eau qui s'avère être un échantillon du Bassin où les Lecteurs peuvent converser avec le Reflet lui-même. Elle est ambidextre, et sait aussi manier la dague, le glaive, la lance, ainsi qu'une certaine forme d'hydromancie acquise auprès du Reflet, qui se manifeste par un sort de respiration infinie sous l'eau, de Traits d'eau et d'un bouclier qui annule les effets magiques.

Toutefois, ses capacités ne se limitent pas aux arts de la guerre : elle maîtrise sa langue, le Denedor, sait parler le Commun bien qu'en faisant des fautes d'accord, a apprit auprès de Shalimar à lire le Commun et grâce au Reflet à se présenter en Aquan, forme de Kalimag utilisée par les élémentaires d'eau. Elle sait brillamment jouer du Hütas'asan, un type de flûte traversière, ainsi que de l'Apip'asan, semblable au violon, mais avec difficultés. Elle maîtrise la couture, le dépeçage, la pêche, sait cuisiner et écrire en runes Denedor ou en alphabet Commun. Svetitië sait aussi tailler et décorer le bois, faisant d'elle une menuisière et ébéniste. Dernièrement, avec sa consoeur Elähe, elle a apprit la monte en Orneval.

Histoire

Naissance et enfance

Svetitië est née de Danantor et de Dianandä, un Desfeïer et une tailleuse. Elle est la cadette de la famille, derrière Eränyätos de trois ans son aîné devenu Desfeïer, et devant Andadiën, frère de deux ans de moins et étant devenu Herboriste ainsi que Lefiüsië, de trois ans de moins qu'Andadiën, qui a suivit le chemin sacré des Mentor.

Ayant eu une enfance plutôt banale, il faudra attendre qu'elle taille son collier de pierre pour voir son histoire dévier de celle de ses congénères. En effet, la pierre ne s'était pas allumée et elle fut déclarée comme Sans-Talents, la menant à l'exil. Elle partit du haut de ses 11 ans dans la forêt qui entourait son village, les yeux emplis de larmes. Elle n'avait ni eu le temps de dire au revoir à ses parents, ni le temps de prendre son déjeuner et sa sinueuse errance dans les bois était ponctuée par des gargouillis qui faisaient fuir les merles et moineaux posés sur les branches. C'est seulement au bout du 4ème jour à tourner en rond, se nourrissant de baies, de champignons et d'insectes que son collier se mit à luir d'une faible lumière blanche dans sa sacoche de feuilles tissées.

Malgré son jeune âge, elle réussit à se rappeler les moindres tournants qu'elle avait empruntés et reprit la direction de son village, triomphante. Elle fut accueillie de manière contrastée par les autres villageois, qui lui apprirent que le Lecteur du village, Ardün, était mort durant la nuit de ce qui semblait être un empoisonnement dans sa soupe de champignons, déclarés vénéneux après vérification. Cette apparition de lueur et disparition de vie synchronisée lui fit prendre la voie des Mentors et Lecteurs, auprès desquels elle apprit à lire, dépecer et tanner, pêcher et fabriquer des hameçons, coudre et fabriquer du patchwork, concocter des remèdes et des cataplasmes, jouer d'un instrument, utiliser un coutelas et un bâton, manier un arc convenablement.. Il s'avéra que notre jeune elfe ne savait pas manier l'arc, manquant de précision à distance, mais excellait en lecture, musique et en pêche au vif. Un autre lecteur ayant déjà été élu, elle eût l'obligation de servir le village en tant que pêcheuse, adoptant donc le nom Flotte-les-poissons. Elle suivit les conseils du plus vieux pêcheur du village, qui était aussi le doyen, du haut de ses 160 ans. Se débrouillant bien, les Mentors et le pêcheur Siëneb décidèrent qu'elle pouvait garder cette place malgré la lueur de son collier.

Fichier:Sacred 2 OST - Fallen Angel

Mais ce n'était pas sans compter l'avènement du Fléau, qui répandit sa Peste. Les Den'dorei avaient développé avec le temps et les expériences une certaine résistance à la maladie, mais le Fléau de Ner'zhul était bien plus puissant qu'ils ne pouvaient l'imaginer. Cette peste eût des conséquences dramatiques, en particulier sur les Récolteurs qui passaient beaucoup de temps dans les champs où les rongeurs, qui portaient la maladie, les infectaient. Il s'avéra qu'Ardün tomba malade après une discussion avec un des récolteurs de blé, ce qui tua les deux elfes. Etant maintenant âgée de 31 ans, et la place de Lecteur étant libre, les Mentors ayant déjà une occupation décidèrent que les épreuves qu'elle avait suivit ainsi que son caractère calme et patient acquis par la pêche pouvaient témoigner de sa capacité à devenir Lectrice.

Bassin miroitant

Ses enseignements auprès des Mentors lui avaient apprit à vénérer le Reflet comme entité suprême, dont l'autorité supplantait celle de la famille elle-même, pourtant un élément important dans leur culture.

Son premier entretien avec le Reflet, qui se réalisa sans la présence du Lecteur ayant succombé à la maladie, fut une expérience captivante qui fit basculer Svetitië de l'insouciance à la croyance. Elle mit toute sa passion et son temps à contribution afin d'en apprendre toujours plus auprès de ce mystérieux oeil qui semblait flotter au-dessus et faire partie de l'eau en même temps. Son dévouement fut récompensé par l'apprentissage de certains mots en Aquan, branche aquatique du Kalimag, et de la bénédiction du Reflet lui-même. Et plus le temps passait, plus son dévouement croissait, tout comme la vie le faisait. Heureusement pour elle, les Anciens, donc les fondateurs de cette civilisation, avaient établit certaines règles avec l'arrivée du Reflet : les Lecteurs et Lectrices n'avaient pas le droit d'avoir de relations et devaient se consacrer à la révérence de l'entité qui les gouvernait. Elle ne se fit pas prier pour se vouer à sa cause, écoutant ses paroles tout en confiant les siennes, au point de permettre à l'élémentaire de lui apprendre quelques tours d'hydromancie qu'elle maîtrisa avec aise. De là prit-elle le nom de Lit-dans-l'eau, pour convenir à sa nouvelle fonction

Dans le même temps, les attaques des Bandits comme celles des Furbolgs augmentaient en effectif comme en fréquence, poussant les Den'dorei d'habitude craintifs à protéger leurs foyers. Elle partit au combat pour donner à ses confrères et consoeurs la bénédiction du Reflet, comme le fit son père et son grand-frère. Le premier périt au combat, le poumon perforé par une côte défoncée d'un coup de masse Furbolg, et le deuxième disparu sans laisser de traces. Ils n'étaient pas les seuls à périr au combat, et Svetitië en était consciente, car l'enseignement acquis auprès des Mentors était utile auprès du gibier mais les humanoïdes étaient plus malins. Soucieuse de son inefficacité à pouvoir soigner des blessures aussi profondes que celle de son père, elle prit la décision de s'entraîner au combat et de mêler l'hydromancie à ses attaques, faisant de son bâton une arme aussi fluide et puissante qu'une vague. Sa mère mourût quatre mois après, atteinte d'une flèche de bandit dans le coeur alors qu'elle allait chercher du coton en compagnie d'une de ses amies qui elle était de la Caste des Récolteurs. Là encore, elle se sentit coupable..

Si elle ne pouvait pas soigner les blessures, il fallait pouvoir empêcher qu'elles se produisent.

Découverte d'Azeroth

Avec la récente perte de nombreux membres de leur tribu, il fallut à Svetitië trouver de nouveaux remèdes plus puissants en cas d'attaque du même genre, allant jusqu'à la réincarnation s'il le faut bien que cela aille à l'encontre des rites de libération des morts. Partant donc vers le Nord, et sortant de ses refuges forestiers d'Älvynn, sa première destination fut Comté-de-l'Or dans laquelle elle noua certains contacts avec des Azothas de la région auxquels elle enseignait certaines méthodes de pêche et eux-même faisant de même, mais aussi avec des bûcherons qu'elle fit contourner habilement ses propres terres. Apprenant seulement des bribes du langage des humains, elle continuera de s'exprimer principalement par des gestes ou des expressions, si bien qu'elle fut nommée la Mime par les Prêtres de l'Abbaye du Comté-du-Nord. Les Carmines ne se montrèrent par contre pas très amicales, étant occupées par un problème d'invasion Rochenoire au nord et par une incursion gnolle au sud-est, avec pour couronner le tout un mage sombre, Morganth, qui les harcelait depuis sa tour.

Il faudra attendre qu'elle continue sa montée dans le nord jusqu'à ce qu'elle arrive à Fièremuraille pour rencontrer celui qui deviendra son nouvel allié, le cartographe et seigneur des Argëh'niams Shalimar Hemswôr'th, avec lequel elle apprendra à parler et à lire le commun (malgré un accent ignoble et une lenteur de lecture considérable) et surtout à faire confiance à ceux qui n'étaient pas de sa race. Elle continuera de rester en contact avec lui par le biais d'un corbeau porteur de message qu'il lui envoyait, tout le temps de son trajet en Azeroth. C'est seulement quand il l'invita à prendre la route vers Féralas, en Kalimdor, qu'elle rencontrera les Argëh'niams, mais elle fera route à part pour un moment afin de continuer son exploration du continent, rejointe à ce moment-là par Elähe, une Desfeïer et amie d'enfance de Svetitië. C'est après une longue marche dans Désolace, où les conséquences de l'Avènement (nommé Cataclysme par les Azothas) montrèrent une certaine clémence dans le développement d'une oasis dans ce désert, puis dans l'intérieur des terres en passant par les montagnes jusque dans les vertes collines et grandes prairies de Mulgore où les Taurens vivaient en harmonie avec les bêtes par la simple règle druidique, que les deux elfes se retrouvèrent face à une plaie béante dans l'estime portée par Svetitië envers la Horde qu'elle pensait seulement protectrice comme ils le sont eux-mêmes.

Le conflit d'Orneval

La forêt d'Orneval, qui d'après les récits de leurs conteurs étaient d'une effroyable beauté elfique, s'étaient transformée en un gigantesque champ de bataille où leurs lointaines cousines Sentinelles luttaient face à l'envahisseur Orc, qui n'hésitait pas à alterner entre la hachette du bûcheron et la hache de guerre à double tranchant pour obtenir les ressources bûcheronnes qu'ils visaient, et ce sans se soucier de la nature qui les entourait et périssait petit à petit. Visitant les forêts enchantées qu'ils avaient abandonné il y avait de cela des millénaires, c'était avec une joie et un émerveillement à peine dissimulés qu'elles se mirent à regretter cette désertion réalisée par leurs ancêtres, bien qu'ils ne pouvaient rien y changer à présent. Mais la destruction massive des arbres menaçait cette forêt d'extinction, et Svetitië se rendit rapidement compte que les Orcs n'étaient pas la seule menace.

Une corruption planait dans les forêts aux teintes vertes et maladives du nord, et menaçait de se répandre ; les élémentaires de feu avaient brûlé une grande partie de la région au nord, semant la panique parmis les Kal'dorei qui se voyaient impuissantes malgré leurs combats et leurs prières élunariennes. Toutefois, la principale menace, celle qui d'ailleurs fut soulevée pendant un dialogue entre l'ambassadrice et des diplomates darnassiens devant le Temple de la Lune, restait la Horde de Garrosh, qui fut rapidement comprise par les deux Den'dorei. Elles-mêmes ayant subit dans leur histoire un conflit semblable avec les Azothas bien avant qu'ils ne partent se développer plus dans le Nord, il fallait trouver une solution, et après un retour en Orneval, c'est quelques kilomètres au nord de la frontière des Tarides, qu'un jeune homme à l'apparence sauvage et tribale, chevauchant un lion et répondant au nom de Pëtihlou, a emmené au triple galop Svetitië près du haut de la large et radieuse Falfarell, puis s'est écroulé de ses blessures. C'est en revenant en courant vers la frontière d'où elle venait pour chercher de l'aide qu'elle aperçut le premier Orc de sa vie, Dre'tar, près du cadavre d'un Grunt et qui poussait le cadavre du Troll dans le lac Tombeciel, pour finalement la chasser elle aussi. Heureusement, Elähe intervint et les deux purent prendre la fuite.

En revenant sur leurs pas vers l'amont du fleuve, Pëtihlou avait disparu, pour laisser place à un Dre'tar enragé venu le débusquer et le tuer. Toutefois, le Chaman orc Garek tenta de mettre fin à ce conflit, usant de ses pouvoirs chamaniques pour repousser Dre'tar, qui s'excusa pour au final l'éventrer lâchement de sa hache et lui couper la tête. Ayant retrouvé Pëtihlou la cheville cassée, et prit le bâton du Chaman en guise d'hommage au jour où elle combattra Dre'tar, elle reprit la route avec la Marcheuse et passèrent la nuit tous les trois en aval du fleuve. Au matin, ils repartirent pour finalement croiser Kerojar, un allié de Pëtihlou, puis tenta de reproduire les gestes du sauvage, apprenant ainsi la monte sur un cerf, et se séparèrent donc après le passage à Astranaar : les Athraciens partirent prendre la mer sur une barque elfique, et les deux Den'dorei continuèrent leur chemin vers Darnassus.

Arrivées à Tumÿaran (=Rivages sombres, Sombrivage) elles découvrirent les stigmates de l'Avènement du Drake qui ici étaient bien plus graves, et les ravages qu'ils avaient causé sur la faune, la flore et les civilisations. Une fois à Lor'danel, la maîtresse des hippogriffes offrit aux deux elfes la possibilité de rejoindre Rut'theran puis Darnassus par la voie des airs, leur laissant la malheureuse chance de voir les dégâts que Teldrassil avait subit.

Une nouvelle affiliation

Malgré une neutralité conservée pendant des millénaires, l'ambassadrice dut faire face à un cruel dilemme.

Elle avait le choix entre la neutralité et l'abandon de ses racines elfes, tout en gardant la paix, et la prise de parti pour se rapprocher des Kaldorei, mais aussi sortir de leurs refuges forestiers et dévoiler leur présence aux humains dans leurs propres forêts, au risque de les irriter, mais la menace orc prit le dessus sur sa décision, et au nom de son peuple qui allait sûrement désapprouver cela, elle ratifia d'une rune l'affiliation des Den'dorei à l'Alliance et à ses membres. Encore faut-il maintenant leur apprendre la nouvelle, et garder une neutralité suffisante pour ne pas s'attirer les foudres d'une Horde nettement plus guerrière que la culture Denedor ne l'est..

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