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C'était un jour brillant, des cors de batailles retentissant;<br />Dans leurs peaux d'argent, étaient les Chevaliers vaillants;<br />Tirant leurs aiguilles, pour la gloire d'Un plus grand;<br />Tandis que femmes et enfants, entonnaient les Chants. |
C'était un jour brillant, des cors de batailles retentissant;<br />Dans leurs peaux d'argent, étaient les Chevaliers vaillants;<br />Tirant leurs aiguilles, pour la gloire d'Un plus grand;<br />Tandis que femmes et enfants, entonnaient les Chants. |
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Il est depuis un jour, durant lequel nul Chant ne résonne;<br />Seules les plaintes des Hommes, que leurs esprits fredonnent;<br />Pour en vain tenter de couvrir, leurs maux que les remords sillonnent;<br />Et à jamais rappeler, que c'est à la Mort que les Perdus s'abandonnent. |
Il est depuis un jour, durant lequel nul Chant ne résonne;<br />Seules les plaintes des Hommes, que leurs esprits fredonnent;<br />Pour en vain tenter de couvrir, leurs maux que les remords sillonnent;<br />Et à jamais rappeler, que c'est à la Mort que les Perdus s'abandonnent. |
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Dernière version du 28 septembre 2018 à 07:08
C'était un jour brillant, des cors de batailles retentissant;
Dans leurs peaux d'argent, étaient les Chevaliers vaillants;
Tirant leurs aiguilles, pour la gloire d'Un plus grand;
Tandis que femmes et enfants, entonnaient les Chants.
Des heures durant, le fracas de leur rage, n'a pu que retentir;
Pour l'honneur des Très-Hauts, les lances se brisaient, créaient des Martyrs;
Quand l'heure fut venue, les Cieux s'enflammèrent, de noir et de blanc se vêtirent;
Criant leur colère, brisant les monts et les terres, où les tombent naquirent;
Du sang de l'astre de l'Aube, fut teintée la Terre-Mère;
Les Cieux ont pleurés pour honorer nos frères;
Puis est venue la Nuit, de son Linceul noir pour faire taire;
Les souvenirs des Disparus, et les cris de leurs Pères.
Il est depuis un jour, durant lequel nul Chant ne résonne;
Seules les plaintes des Hommes, que leurs esprits fredonnent;
Pour en vain tenter de couvrir, leurs maux que les remords sillonnent;
Et à jamais rappeler, que c'est à la Mort que les Perdus s'abandonnent.
Auteur : Demiä Hemswôr'th.