Drom, le neuvième

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Présentation du neuvième

«Drom, le Bienheureux», «Drom, le Naïf». Si le neuvième a porté beaucoup de surnoms au cours des siècles, ces deux-là sont restés les plus "populaires". Divin des saisons, du temps et des cultures, il est très ancré dans la culture populaire et adoré de pratiquement tous les membres du peuple féralien.

Régissant les moissons, faisant tonner les orages qui apportent les pluies nécessaires aux cultures, chassant les nuages pour apporter le soleil les temps de grand froid, c'est un divin bienfaiteur malgré sa place moindre dans le Panthéon. Plus vieux que tous ses frères et sœurs, il en est le plus sage, et le plus reclus de tous.

Mythes et légendes

• Certains racontent qu'ils auraient un jour vu le Neuvième au milieu des petites gens, surveillant lui-même les cultures et plantations du peuple tribal. Cette légende est sûrement vrai, le Bienheureux étant connu et réprimandé par ses semblables pour sa proximité avec les mortels.
• Il prendrait l'apparence d'un vieillard en robe de bure et à la longue barbe grise et drue, appuyé sur un bâton de bois. D'autres disent qu'il est un puissant homme à la couronne de lierre et à la hotte pleine de rochers.

Sanctuaire

• Le Neuvième n'a pas besoin de sanctuaire particulier. On le prie aussi bien dans les chaumières que dans les voyages, l'implorant d'apporter bonne fortune et beau temps tout au long de l'année. Les fermiers et autres cultivateurs possèdent généralement une idole du Neuvième à l'entrée de leurs champs, pour espérer gagner ses faveurs.

Bonus de prière

• Bénédiction de Drom : Le Neuvième fait preuve de réserve concernant ses croyants, préférant se concentrer sur les travaux de ces derniers, bien qu'il leur accorde quelques facilités. [Un croyant de Drom ne peut être entravé par un élément végétal naturel (lianes, racines, buissons, ronces, ...).]